Sur un noeud, la rencontre lascive.

Messages : 4 Date d'inscription : 27/11/2016

C'était au mois de Novembre, Antoine subissait les aléas de la Noblesse, quelques déplacements sur Limoges ainsi que sur les terres de sa Suzeraine. Il entretenait un rapport proche avec elle, suffisant, le devoir de s'occuper de ses maux avec ses mots et lui apporter un onguent littéraire. Elle connaissait des douleurs, lui était fatigué et ne désirait que rentrer pour s'occuper de sa vie. Il rêvait dans sa vie de trouver une muse, une amante pour pouvoir dépasser son envie, sauter et prendre un autre temps que ruminer sans cesse les mêmes choses. Ainsi, il prit la route, cheval dressé et son paquetage noué à celui - ci. Il fera escale que dans des noeuds, une route longue et peut être trop solitaire. Il espèrait rencontrait autre chose que des brigands ou des vieux sages aigris, séniles.

Il passa une longue journée à voyager, il s'arrêta sur un noeud, à une demi journée se trouvait Limoges. Un petit feu de bois, une chasse au gibier. Il le dépèce et se prépare à avoir son repas de franc tireur, voltigeur, il ne manquait plus que du vin et une femme.

Admin Messages : 94 Date d'inscription : 01/10/2016

Elle avait eut besoin de se voyage pour enfin respirer et laisser la tristesse ailleurs, un voyage pour avancer. C'est arrivé a la hauteur du limousin que ses souvenirs avec Black refirent surface...Elle fit escale sur un nœuds avant de filer droit vers Murat, ses compagnons derrières, elle partait en éclaireuse.

Elle arriva au lieu voulu, mais il semblait que ce n était pas désert qu'on l'occupait déjà. La jeune escorteuse, arriva avec prudence. Mis pieds a terre.
Elle respirait lentement, calmement, il fallait voir s'il pouvait y avoir danger, mais l homme avait l air seul. Elle s'approcha du feu de camp.

D'une voix douce pour ne pas trop l effrayer et le surprendre, elle le salua.

Bonsoir voyageur.

Elle lui fit face avec un sourire.

Messages : 4 Date d'inscription : 27/11/2016

A peine perturbé par l'arrivée de la jeune femme, il témoigna de sa présence et investit un regard sur elle. Il étire un sourire, peut être charmeur mais surtout rassuré de ne plus être l'unique pantin de ce feu, feu qu'il voudrait bien voir s'embraser.

Il l'a détaille, sa forme, ses dons généreux, poitrine, croupe ou hanche. Il aime regarder les femmes qui approchent et sont loin d'être timides.

Il étire un rictus, la saluant, restant assit, les jambes étendues sur le sol.
Il avait bien de la chance d'avoir ce soir une toute autre chose, une femme et brune qu'il espère peut être décortiquer, regarder et parler.

Bonsoir à vous. Venez, joignez vous.. Je suis Antoine Szadig.

Admin Messages : 94 Date d'inscription : 01/10/2016

Elle s'avança, puis sourit. Elle serait moins seule, pour passer la soirée avant de repartir.
Laissant tomber son sac, ses armes...mais gardant sa dague bien cachée pour se défendre. Son corps s'installe prêt du brun, qui d ailleurs n était pas repoussant.

Enchantée, je me nome Maloue Desiris...

La brune sentait la chaleur du feu. C’était une Bénédiction après cette route à cheval. Depuis qu'Alderan l’avait laissée partir...elle pensait qu'elle ne plaisait pas et que de sa vie, elle ne plairait jamais ... car même Alban ...enfin bref.
Il fallait qu'elle se libéré de cette instinct primaire qui handicapait.

C'est agréable de trouver du monde pour ne pas être seule. c'est toujours plus agréable.

Maloue posa son regard brun sur lui, entre envie d en connaitre plus...et de ne rien savoir...

Messages : 4 Date d'inscription : 27/11/2016

Antoine sourit en coin a la regarder s'installer, elle est mutine et vole dans l'air, elle abandonne le quotidien pour l'accompagner, ils ne sont ni étreint ni séparés, pas encore intime mais leur regards se croisent par moment. L'homme n'est habillé que de ses braies, chemise et de ses bottes. Il tourne la tête vers elle, joli nom, Desiris.. serait - ce un détail ?

Enchanté.. Portez - vous bien votre nom ou c'est une coïncidence ?

Il joue, taquine et amorce une danse des mots sur des allusions. On peut lire sur son torse les muscles plus ou moins saillants, il n'estpas non plus atlète mais pas non plus fin comme un esclave. Il plonge son regard vers elle, ce soir, c'était son regard et son envie qui étaient braises.

En effet.. Nous pourrions passer une nuit ensemble.

Plonge son regard sur elle, définitivement, détaille son cou, son visage, ses lèvres et son regard avant d'en revenir au feu. Et reprendre ses mots, cherchant le lubrique.

Que voulez - vous "manger" ce soir ?

Admin Messages : 94 Date d'inscription : 01/10/2016

L’atmosphère était étrange, sa raison lui criait de partir, de fuir...son corps l empêchait de bouger. Son regard ne le quittait pas, déjà pour parer a tout mouvements de sa part et aussi pour le mirer. Il était plus vieux qu'elle, et l’expérience dans ses mots et son regard.
Sa voix une atteinte a toute les convenances.

Mon nom n'est qu'un héritage familiale.

Elle se concentrait pour ne pas que sa voix la trahisse. Il était comme on dirait "ne chaleur", mais elle savait que les hommes ne la désiraient pas, elle était toujours la "bonne amie".

Passer la nuit a se tenir compagnie oui. et si vous avez tué du lapin je suis preneuse.

Elle se plaça en tailleur, son corset se serra d avantage. Elle se foutait d'avoir des vêtements trop petit, son armure en cuire cachait tout.

D’où venez vous? et vous allez ou? Autant se découvrir, si nous devons passer la nuit ensemble.

Messages : 4 Date d'inscription : 27/11/2016

L'atmosphère se réchauffait, les chaleur des flammes encerclées le cocon que formait Maloue et Antoine. Il la regardait, toujours avec un regard plutôt doux, centré sur son visage sans pour autant exagérer pour se perdre contre ses monts qu'il ne voyait pas mais qu'il ne cachait pas l'envie de les regarder.

Avez - vous si froid que cela pour garder votre armure ?

Je n'aime pas passer des nuits seuls, je préfère être accompagné.. Et je suis certains que nous passerons une bonne nuit, non ?

Il sourit légèrement, le rictus relevé. Le lapin était en train de cuir sur le feu, il prenait cuissons rapidement et très souvent, Antoine se penchait pour le tourner, et observer se faire. Il tenait la baguette de bois par l'embout qui dépassait. Il pencha le regard vers Maloue et lui répondit doucement.

Je suis de Ventadour, mais je vis à Saint Domet, à quelques lieues de Ventadour. Je traine dans les chemins, je voyage dans le Comté.. Et vous ? Que cherchez vous ?